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elomariette

Manuel Antonio...



Bien qu' il soit le plus petit du pays, il est l'un des plus visité. Et pour cause, Manuel Antonio contient une combinaison magique : biodiversité de la vie sauvage dans une forêt tropicale et des plages enchanteresses. La faune et la flore sont ainsi préservées pour les futures générations.

Nous arrivons donc pour l'ouverture, ce que nous conseillons évidemment, soit 07h00. Nous n'avons pas réservés nos places, mais par ces temps de Covid, les touristes du monde entier sont bien moins nombreux. Nous n'avons pas à faire la queue aux bornes, nous sommes dans les premiers à arriver sur le site. La voiture est garée au parking le plus proche, nous avons refusé poliment les guides qui souhaitent nous accompagner, et nous voilà entrés dans le parc après une fouille rapide de nos sacs à dos, la nourriture étant interdite à l'intérieur.

Le chemin est très facile, large, et bien balisé, ne vous attendez donc pas à pénétrer dans une jungle dense et sombre, dans laquelle l'avancée se fait à grands coups de machete.


On avance tout doucement... Sans faire de bruit... On adapte notre vue, aux aguets de la moindre feuille qui bouge, du moindre cri... Le premier animal que nous apercevons sera... : Un gros papillon bleu ! Puis suivra un toucan sur les cimes d'une branche.

Ensuite, un guide nous montre au travers de sa jumelle installée sur un trépied, 2 toutes petites chauve-souris nichées dans le tronc d'un arbre. Elles mesurent environ 1cm, mais jouent un rôle important en mangeant les moustiques et ainsi contribuent à la non prolifération de maladies.


Nous nous enfoncons un peu plus dans la forêt, en direction des miradors, quand nous rencontrons les premiers singes.


Les singes hurleurs et surtout, les capucins: il y en plein, ils mangent et sautent de branches en branches. C'est étonnant de voire leur ressemblance avec les hommes.


Iloa aperçoit un tamandua, c'est un petit fourmilier, plus rare à voir. Gris et blanc avec un long museau, il gratte l'écorce d'un arbre à la recherche de nourriture.


Une fois arrivés au mirador, un beau point de vue sur la forêt mais aussi sur les 2 magnifiques plages en arcs de cercle, séparées seulement par une langue de sable arborée. Une des photos les plus connues du Costa Rica. Ce pont de terre sépare la plage de Espadilla et celle de Manuel Antonio, à laquelle nous passerons un bon moment avant de ressortir du parc.

On redescend, on entend les singes hurleurs et leurs cris spécifiques que l'on perçoit à des kilomètres. Un agouti traversera quelques mètres devant nous, c'est un rongeur.

Une pause sur une petite plage "playa las gemelas" très jolie.


Les enfants jouent sur un rocher, et se font surprendre par un bel iguane qui se fait bronzer.


On repart en direction des 2 grandes plages, vraiment magnifiques.


Quelques pelicans se mélangent avec les baigneurs. Il fait vraiment chaud, on se délecte de la baignade dans de l'eau, chaude elle aussi.



Les capucins continuent de jouer, ils sont là, tout proche de nous, sur les arbres qui nous procurent de l'ombre en bord de plage.

Certains ne sont pas farouches, voire curieux... Et il y en a même un qui nous grimpe dessus ! Que c'est amusant, les enfants sont enchantés !


Pour nous, il est l'heure de partir, il est déjà 14h30 et nos estomacs se font entendre... Nous n'aurons pas vus les paresseux, malheureusement pour nous, trop bien cachés dans les arbres. On espère les rencontrer plus tard, ailleurs.


Donc nous avons passé environ 7h dans ce parc qui a tenu toutes ses promesses !


Sur le retour à notre AirbnB situé à dans la ville de Quepos, nous nous arrêtons manger dans le restaurant :"El avion", ce qui a bien amusé les enfants...


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1 Comment


lamoustache
Jan 21, 2021

Pura Vida ! Super les singes !

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